Réflexions sur le choix d’un appareil photo pour la plongée sous-marine

Bonjour les amoureuses / eux 💕 du Monde du Silence, 🐡

On me demande souvent si tel ou tel modèle d’appareil photo 📸 convient à la prise de vues sous-marines. Si on peut obtenir de belles photos, s’il est facile à utiliser, si les couleurs sont bien rendues, etc … Ou encore plus difficile: quel est le meilleur appareil pour réussir ses photos sous-marines.

Ce sont des questions qui peuvent déchaîner les passions ✨ durant de longues nuits blanches. Je ne vous bassinerai pas avec des certitudes de vendeur ou des arguments techniques poussés. Ceux-ci évoluent et changent continuellement à chaque sortie d’un nouveau modèle. Je préfère une tentative de partage de bon sens et d’expérience qui vous donneront des clefs intemporelles pour faire votre choix.

Introduction
Un appareil compact doit pouvoir aussi s’équiper d’accessoires

Tout d’abord, au risque de vous décevoir, il n’y a pas d’appareil photo magique qui fait de bonnes photos mais des êtres humains nommés photographes qui ont plus ou moins investi dans cet art (en temps, en formations, en sacrifices, en matériel, en argent, …). C’est vous les auteurs des belles photos à force de travail et de passion.

Pas plus qu’un ordinateur plus puissant avec un nouveau traitement de texte et un correcteur orthographique et syntaxique n’aidera un écrivain à écrire un meilleur roman, un appareil plus performant ne fera pas de plus belles photos. Ce sont des outils qui aident les artistes (écrivains, photographes, …). Ils peuvent leur faciliter la vie, ouvrir à plus ou moins de possibilités. Mais une vielle machine à écrire mécanique n’empêchera pas d’écrire une belle histoire, un documentaire passionnant.

Cette comparaison semble évidente pour l’écrivain, mais moins pour le photographe. Pourquoi l’art de l’expression visuelle serait-il plus facile que celui de l’expression écrite ? Chacun a son langage et chacun raconte une histoire. D’ailleurs, le dernier des appareils avec l’autofocus le plus rapide et le plus grand nombre de pixels ne vous empêchera pas de faire des photos de m… auvaise qualité.

Si nous voulons être maître de notre discours, nous devons pourvoir choisir chaque aspect de notre histoire: les mots, les figures de style, ce qui est dit, ce qui est sous-entendu, cacher une partie pour laisser l’imaginaire de notre lecteur faire le reste du parcours: s’approprier et interpréter les éléments du langage visuel de la photo qu’il regarde(ou au contraire être plus direct et ne pas laisser de doute). Tout cela, ce n’est pas l’appareil qui le fait, c’est le photographe.

Réflexion
Un rendu choisi par le photographe, pas par l’appareil.

Dans les points qui suivent, je vais vous expliquer quels sont les critères qui, à mon sens, sont les plus importants et pourquoi. S’ils ne sont pas critiques pour réussir certaines photos sous-marines, ils le sont pour progresser (rapidement), pour éviter la frustration, pour comprendre vos résultats et pour laisser libre cours à votre âme de photographe. Bien sûr au départ, on cherche « juste » à faire une photo nette, bien exposée. Voir plusieurs photos techniquement réussies. Dans un certain nombre de cas les automatismes de nos appareils se révéleront efficaces, nous permettant de nous concentrer sur le cadrage et la composition pendant qu’ils s’occupent de l’exposition et de la mise au point.

Cependant, dans d’autres situations (et vous les rencontrerez rapidement durant votre parcours de photographe)  vous ne réussirez pas votre photo, ou bien l’une sera réussie et les autres dans des circonstances similaires seront fort différentes. Vous ne comprendrez pas pourquoi. C’est parce que l’appareil aura pris des décisions et fait les réglages pour vous. Il se sera trompé. Il existe bien des mécanismes de compensation, mais là encore, il faut pouvoir deviner ce que l’appareil va estimer pour compenser son choix. Les automatismes de l’appareil introduisent une dose d’imprévu, de non-contrôle dans votre prise de vue. Quoi qu’en disent les vendeurs et les fabricants!

C’est bien pour cela que le mode manuel existe et existera TOUJOURS sur les boîtiers destinés à celles et ceux qui veulent explorer et maîtriser les aspects de leur photographie: vous ne devez pas tout comprendre pour vous considérer photographe, mais comprendre ce que vous faites. C’est le mode manuel qui vous rend maître de ce que vous faites.

Le mode manuel

Il fait souvent peur: diable, cela doit être compliqué si on a mit des ordinateurs dans cette petite boite pour faire des tas de calculs. Je n’aime pas les calculs.

Les appareils photos de nos jours font des calculs parce qu’on y a mis des processeurs (=ordinateurs) et c’est bien la seule chose qu’ils savent faire: calculer, estimer et prendre des décisions pré-déterminées selon certains standards dictés pour nous offrir des photos calibrées.

Vous l’aurez compris, le premier critère pour un appareil qui vous suivra est qu’il doit avoir un VRAI mode manuel avec un accès direct et indépendant au choix de la vitesse (durée d’exposition) et à l’ouverture (diaphragme) de l’objectif. Le choix de la sensibilité doit aussi pouvoir aussi se faire. Vu qu’elle est moins souvent modifiée, donc si son accès est un peu moins rapide, c’est moins grave.

Note: Les modes P, A et S sont aussi importants et parfois utiles, mais si vous avez le mode manuel M, vous aurez aussi ces modes semi-automatiques.

Un vrai diaphragme

Concernant l’ouverture, s’il s’agit d’un compact, il faut vérifier qu’il s’agit bien d’un vrai diaphragme avec toutes les valeurs depuis le plus petit (ex. 2.8 à 8 ou 11). Pour les détails je vous invite à (re)lire l’article sur l’ouverture dans le triangle de l’exposition. C’est important car j’ai déjà vu des modèle avec seulement 3 valeurs: 2.8, 5.6 et 8 … Un peu comme les vieux appareils où il y avait une position « nuage », « nuage & soleil », « soleil ». Ne pas avoir un vrai diaphragme est une vraie limitation pour l’évolution de la qualité des photos. C’est aussi un indicateur que l’appareil est d’entrée de gamme et pour les débutants (ce qui n’est pas péjoratif). Cela limite la durabilité et les possibilités d’évolution de cet appareil au cours temps. L’apprentissage de la photographie sous-marine se heurtera plus ou moins rapidement à des limites de possibilités et donc de type de photos que vous souhaiterez faire.

 

Le format RAW

Comme je l’explique dans l’article « Pourquoi photographier en RAW« , ce format brut qui sort de votre appareil vous permettra à terme (même si vous ne l’exploitez pas au début) de tirer le meilleur de vos photos, de produire de la meilleure façon ce que vous ne pouviez pas faire directement sous l’eau. C’est LE négatif numérique. Vous pourrez l’utiliser pour faire tous les développements que vous souhaitez. Un JPEG est comme une photo déjà imprimée. Si vous la scannez pour la modifier, vous serez limités.

Si vous persistez dans la photo sous-marine (ou terrestre), vous y passerez. Croyez-moi. Et si vous ne l’avez pas fait directement, vous regretterez de ne pas l’avoir fait plus tôt.

L’autofocus
Contrôle de la mise au point

A chaque nouvelle version, nouveau modèle qui sort, la rapidité de l’autofocus augmente et s’améliore (autofocus=la capacité de l’appareil a faire la mise au point tout seul, à donner une image nette). Les champions restent les Réflex ou hybrides (=boitier comme les Réflex avec objectifs interchangeables mais sans visée à travers l’objectif, ce qui donne un appareil plus compact). Les compacts restent un peu en dessous bien que les derniers modèles comme le Sony RX100-M5, 6 et 7 combinent deux méthodes de focus comme pour les Réflex et les Hybrides.

Aujourd’hui, pour les sujets qui ne sont pas excessivement rapides, les derniers modèles feront l’affaire. Là où vous sentirez la différence en fonction des modèles ce sont les petits délais dans les sujets mobiles (requins, barracudas, …) ou dans des scènes plus sombres. Vous sentirez des petits retards qui vous feront sans doute « rater » l’instant que vous vouliez capturer. Dans un certain nombre de cas, avec l’habitude et la connaissance de votre matériel, vous apprendrez à anticiper pour combler ces délais.

Cela ne vous empêchera pas de faire des photos de modèle, de la macro, de l’ambiance, des épaves, …

La sensibilité ?
Traitement du bruit en haute sensibilité

Ici aussi les performances s’améliorent avec la sortie de chaque nouveau modèle. Les appareils peuvent monter de plus en plus haut en sensibilité, permettant d’obtenir des photos dans des conditions de plus en plus sombres. Les appareils de plus haut de gamme permettront aussi de définir une valeur maximale si la sensibilité est en mode automatique. C’est le genre de petite fonctionnalité qui facilite la vie mais dont l’absence n’empêche pas la création de magnifiques photos.

L’ergonomie

C’est l’un des points les plus importants pour progresser. Il faut se sentir à l’aise avec la manipulation de l’appareil. Les menus doivent vous sembler logiques. Vos doigts doivent pouvoir trouver les boutons facilement. Si vous avez des mains de titans, un tout petit appareil ne vous semblera pas pratique. Et inversement … Vous ne connaîtrez pas au départ ces menus et la position des boutons, vous pourrez vous entraîner à les apprendre. Je ne peux que vous inviter à aller dans un magasin et demander à essayer l’appareil, regarder les menus, prendre quelques photos. Vous sentirez si il « parle à vos mains et à votre esprit ».

Menu personnalisable pour un accès rapide à 12 fonctions clefs

Un dernier points sur l’ergonomie, le fait d’avoir un menu configurable avec les principales fonctions utilisées, ou des modes photos personnalisables sont des atouts non-négligeables.

Le Flash en mode manuel

Ce point n’est pas obligatoire. Loin de là. C’est une option très rare sur les compacts. Je ne connais que Canon qui le fait sur les compacts. Il s’agit de pouvoir déclencher le flash interne de l’appareil en mode manuel, sans pré-éclair et en définissant la puissance. Ceci n’a d’intérêt que si vous:

  • avez des flashs externes qui peuvent éclairer en mode manuel
  • comptez photographier en contrôlant manuellement la puissance de vos flashs
  • voulez jouer avec des déclencheurs de flashs déportés.
 
Le Caisson
Caisson Hugyfot en aluminium pour Réflex avec toutes les commandes accessibles

Aujourd’hui les constructeurs d’appareil compacts proposent de plus en plus souvent un petit boitier plexiglas destiné à votre appareil à un prix généralement très raisonnable. Alors pourquoi aller voir ailleurs ?

Parce qu’ils n’ont pas été conçus pour des photographes plongeurs. Voici les points auxquels il faut faire attention:

  • La robustesse et la facilité du système d’ouverture / fermeture
  • La robustesse du caisson lui-même. Ceux en aluminium sont plus robuste que ceux en plexiglas.
  • La possibilité d’ajouter des flashs/lampes externes avec des bras standards. Eviter les fabricants qui ne sont compatibles qu’avec leurs propres bras. C’est plus cher et ils ne profitent généralement pas de l’expérience transversale des  utilisateurs
  • La possibilité d’ajouter des compléments optiques de qualité: grand-angle et macro (un pas de vis sur le port plan ou la possibilité de fixer un adaptateur)

Pour les appareils Réflex, ce sont des fabricants généralement sérieux qui offrent des solutions étudiées et sur mesure.

Spécialisé
Les compacts ont aussi des caissons en aluminium

Vous aurez compris que pour les compacts, j’ai une préférence pour les fabricants de caissons indépendants plutôt que ceux de la marque de l’appareil photo. Voici pourquoi: 

  • Fabriquer des caissons, c’est une expertise. Ceux qui le font depuis des années ont appris ce que les autres commencent à découvrir. Cela se voit sur l’ergonomie. Rendre accessibles les boutons et fonctions ce n’est pas tout. Il faut que cela soit aussi facilement actionnable.
  • Les caissons de la marque de l’appareil sont généralement garantis à des profondeurs moindre.
  • Les caissons de la marque de l’appareil ne prévoient généralement pas autant de possibilité d’extension (flash, lampe focus, connexion fibre optique moins robuste, …). La gamme des Olympus TG font exception à ce constat.

Attention: ceci reflète ma modeste expérience pour avoir eu quelques caissons en main et avoir discuté avec leurs propriétaires. Il y a surement des exceptions et cela peut évoluer avec le temps. C’est la raison pour laquelle je vous invite à poser des questions au vendeur (et à vous-même). Vous pouvez aussi me poser des questions via les commentaires de cet article :-). Il y a par exemple un constructeur qui se dénote et me fait « mentir ». C’est Olympus avec sa gamme TG-5, 6, 7 qui offre un caisson et une gamme d’accessoires intéressants pour les débutants, les amoureux de Macro et les souvenirs de vacances.

Les accessoires
Porte complément optique sur un bras de flash

Bien que cela ne soit pas directement lié à l’appareil lui-même mais plutôt au caisson, la diversité et la qualité des accessoires existant est important pour pouvoir faire évoluer, améliorer et diversifier ses prises de vue. La photographie sous-marine est surtout populaire pour le grand-angle, la macro et les portraits de poisson.

Le grand-angle nécessite un « vrai grand-angle ». C’est à dire sur 120-150° de champs de vision. 

La macro ou proxy nécessitent de pouvoir grossir de façon importante un sujet.

Or ces deux extrêmes, s’il sont possibles avec un appareil à objectifs interchangeables en choisissant l’optique qui répond aux besoins mentionnés, ils ne sont pas compatibles avec les zooms des compacts qui sont en général un compromis. Ils ne sont donc pas extrêmes. Plus ils seront extrêmes, moins ils seront bons à ces extrêmes (luminosité, rendu des couleurs, qualité de l’image, vitesse de focus, …). Il faut donc ajouter des accessoires pour pouvoir élargir le champ de vision ou pour grossir et se rapprocher du sujet (Cf. l’article Les compléments optiques Macro pour les compacts). 

La zone intermédiaire couverte par l’objectif sans accessoire est en général bon pour photographier des poissons de bonne taille, ni de trop loin ni de trop près.

Donc, vérifier lorsque vous choisissez votre appareil et son caisson que des accessoires optiques, d’éclairage, de configuration (platine, montage, …) soient disponibles.

Les modes prédéfinis ?
Un mode reprenant différentes scènes

Bof ! Plus il y en a, plus le choix est difficile (neige, portrait de nuit, feu d’artifice, sport, …). Je ne les emploie quasi jamais. Sous l’eau, j’utilise parfois le mode sous-marin. Mais je perds le contrôle sur la photo. Sur terre ? Parfois. Mais c’est plus par curiosité et pour l’expérimentation que je les utilise. Si les résultats ne me plaisent pas et que je n’ai pas de moyen de les modifier, je reviens en manuel ou semi-automatique. Je vois les modes prédéfinis comme une sorte de divagation artistique guidée par l’appareil. J’essaie un peu n’importe quoi mais pas n’importe comment pour voir ce que cela donne. C’est un peu comme du « brainstorming » photographique. Cela peut apporter de nouvelles idées ou façons de faire.

En bref, ce n’est pas un critère de choix.

Le mode macro est peut-être le seul qui pourrait être utile sous l’eau
Le travail – la pratique
Ne plongez pas sans votre appareil

Quel que soit votre choix, la clef de la progression c’est de travailler vos photos, de pratiquer la prise de vue. Si vous aimez vraiment la photographie sous-marine et que vous vous accrochez à sa pratique, vous serez toujours tenté d’acheter un nouveau modèle, du nouveau matériel. Mais avant de le faire, soyez sûr que ce qu’apporte ce nouveau matériel est nécessaire au type de photos que vous faites. Par exemple: plus de méga-pixels … imprimez-vous en super grand ? Un auto-focus plus rapide: photographiez-vous de l’action sous l’eau ou de la macro et des paysages ? Vous pourrez y répondre si vous connaissez votre travail, si vous exprimez suffisamment votre vision photographique et si vous l’étudiez, la regardez. Il ne s’agit pas uniquement d’appuyer sur le bouton en plongée :-).

Si vous passez encore un an, deux ou trois à peaufiner votre travail, vous aurez progressé sans frais. Vous aurez mis de l’argent de côté. Un nouveau modèle (ou deux) sera sorti avec son lot d’innovations utiles (ou pas).

Plutôt que d’acheter un nouveau matériel vous aurez plus de bénéfice à investir en vous et vos photos au travers d’une formation, d’un atelier ou d’un voyage dédiés à la photographie sous-marine. Ce que vous aurez acquis le sera pour toujours, vous aurez vécu une expérience. Votre matériel sera quant à lui remplacé un jour ou l’autre.

Conclusion
L’appareil

Si vous aimez faire des photos (et donc vous êtes un amateur), même si vous n’êtes (à ce jour 😉 un expert, et que vous voulez investir dans un appareil photo, choisissez une marque connue et un modèle reconnu sur terre et reconnu pour ses capacités sous-marines. Personnellement, je ne suis pas convaincu par les modèles spécifiquement créés pour la prise de vue sous-marine, ils sont trop limités, même si le nombre d’accessoires semble intéressant. Hors de l’eau ils sont moyens. Ce n’est donc pas pratique pour progresser plus vite.

Le caisson

Regardez les caissons de marques comme Hugyfot, Isotta, Nauticam, Aquatica, … regardez quels modèles sont proposés et comparez ceux-là. L’offre actuelle est tellement vaste, que vous pouvez vous baser sur les études faites par les fabricants de caisson indépendants. Ils cherchent à offrir des caissons pour les meilleurs appareils, ceux qui resteront longtemps et qui sont adaptés à la photographie sous-marine. Peut-être avez-vous déjà une expérience avec l’une ou l’autre marque ? Vous savez alors si l’ergonomie des menus vous semble intuitive ou pas.

Occasion

 

Photo extraite d’une GoPro7

Si vous ne pouvez pas vous offrir l’appareil de vos rêves avec son caisson, pensez au marché de l’occasion. Préférez un revendeur qui aura vérifié et qui pourra même garantir l’appareil et le caisson. De particulier à particulier, il faut connaître la personne et pouvoir lui faire confiance.

Mis à part cela, sachez simplement qu’en fonction de votre choix, vous vous ouvrirez plus ou moins de possibilités pour évoluer. Vous pouvez très bien vous contenter des limites offertes par votre premier choix, le temps de maîtriser tout ce qu’il offre, d’arriver à ses limites et d’économiser pour le suivant.

 

Quel que soit votre choix, il faudra ensuite sortir avec votre appareil. Faire des plongées photos, encore et encore. Puis encore et encore ;-). C’est en photographiant (intentionnellement) que l’on devient photographe. A ce sujet je vous recommande l’article « Comment progresser plus vite ».

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Si vous ne l’avez pas encore fait, n’hésitez pas à télécharger gratuitement mon livre numérique « 4 étapes pour réussir ses photos macro sous l’eau ».

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